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grand
Générateur(s) de nombres pseudo-aléatoires
Séquence d'appel
Y=grand(m, n, dist_type [,p1,...,pk]) Y=grand(X, dist_type [,p1,...,pk]) Y=grand(n, dist_type [,p1,...,pk]) S=grand(action [,q1,....,ql])
Paramètres
- m, n
entiers, dimensions de la matrice de nombres aléatoires à obtenir
Y
- X
une matrice (ou un vecteur) dont seules les dimensions (
m x n
) sont utilisées- dist_type
chaîne de caractères donnant la loi de distribution des nombres aléatoires ('bin', 'nor', 'poi', etc ...)
- p1, ..., pk
les (éventuels) paramètres de la distribution
dist_type
- Y
la matrice de nombres aléatoires
m x n
- action
chaîne de caractères spécifiant l'action à entreprendre sur le générateur de base ('setgen' pour changer le générateur courant, 'getgen' pour obtenir le nom du générateur courant, 'getsd' pour obtenir l'état du générateur courant, etc...).
- q1, ..., ql
les paramètres (éventuels) de l'action à effectuer sur le générateur de base.
- S
résultat de l'action (en général une chaîne ou un vecteur colonne)
Description
Attention: sans souche, la séquence générée restera la même d'une session à l'autre.
Au début de chaque script utilisant la fonction rand, vous devriez utiliser:
Cette fonction peut être utilisée pour générer des nombres pseudo-aléatoires à partir
d'une loi de distribution donnée (binomiale, uniforme, normale,...) : ces nombres peuvent
être considérés comme des réalisations de variables aléatoires indépendantes qui suivent
la loi donnée. Dans ce cas vous devez appliquer l'une des trois premières séquences
d'appel pour obtenir une matrice m x n
de tels nombres. La deuxième
séquence est équivalente à la première si X
est une matrice m x n
et la troisième forme s'applique lorsque la loi est vectorielle (comme la loi multinomiale) :
une réalisation correspond alors à un vecteur colonne (de dimension m
) et
l'on obtient ainsi n
réalisations sous la forme d'une matrice
m x n
.
La dernière forme d'appel s'utilise pour entreprendre diverses actions sur le générateur de base (depuis la version 2.7 vous pouvez choisir parmi plusieurs générateurs comme Mersenne-Twister, KISS, clcg4, ...). Ces générateurs fournissent des entiers selon une loi uniforme sur un intervalle très grand (distribution lgi), les autres types de lois s'obtenant à partir de ces générateurs de base (en général suivant un schéma lgi -> U([0,1)) -> distribution cherchée).
Générer des nombres aléatoires selon une loi donnée
- beta
:
Y=grand(m,n,'bet',A,B)
génère des nombres aléatoires suivant la loi beta de paramètresA
andB
. La densité de cette loi est (0 < x < 1
) :A
etB
devant être des réels > 10^(-37). Fonction(s) associée(s) : cdfbet.- binomiale
:
Y=grand(m,n,'bin',N,p)
génère des nombres aléatoires suivant la loi binomiale de paramètresN
(entier str. positif) etp
(réel de [0,1]) : nombre de succès au cours deN
épreuves de Bernouilli de probabilité de succèsp
. Fonction(s) associée(s) : binomial, cdfbin.- binomiale négative
:
Y=grand(m,n,'nbn',N,p)
génère des nombres aléatoires suivant la loi binomiale négative de paramètresN
(entier str. positif) etp
(réel de ]0,1[) : nombre d'échecs avant d'obtenirN
succès dans des épreuves de Bernouilli de probabilité de succèsp
. Fonction(s) associée(s) : cdfnbn.- chi 2
:
Y=grand(m,n,'chi', Df)
génère des nombres aléatoires suivant la loi du chi 2 àDf
(réel > 0.0) degrés de liberté. Fonction(s) associée(s) : cdfchi.- chi 2 non centrée
:
Y=grand(m,n,'nch',Df,Xnon)
génère des nombres aléatoires suivant la loi du chi 2 non centrée àDf
degrés de liberté (réel >= 1.0) le paramètre de décentrage étantXnonc
(réel >= 0.0). Fonction(s) associée(s) : cdfchn.- exponentielle
:
Y=grand(m,n,'exp',Av)
génère des nombres aléatoires suivant la loi exponentielle de moyenneAv
(réel >= 0.0).- F variance ratio
:
Y=grand(m,n,'f',Dfn,Dfd)
génère des nombres aléatoires suivant la loi F (variance ratio) àDfn
(réel > 0.0) degrés de liberté au numérateur etDfd
(réel > 0.0) degrés de liberté au dénominateur. Fonction(s) associée(s) : cdff.- non central F variance ratio
:
Y=grand(m,n,'nf',Dfn,Dfd,Xnon)
génère des nombres aléatoires suivant la loi F (variance ratio) non centrée àDfn
(réel >= 1) degrés de liberté au numérateur, etDfd
(réel > 0) degrés de liberté au dénominateur,Xnonc
(réel >= 0) étant le paramètre de décentrage. Fonction(s) associée(s) : cdffnc.- gamma
:
Y=grand(m,n,'gam',shape,scale)
génère des nombres aléatoires suivant la loi gamma de paramètresshape
(réel > 0) etscale
(réel > 0). La densité est :shape (shape-1) -scale x scale x e / gamma(shape)
- Gauss Laplace (normale)
:
Y=grand(m,n,'nor',Av,Sd)
génère des nombres aléatoires suivant la loi normale de moyenneAv
(réel) et d'écart typeSd
(réel >= 0). Fonction(s) associée(s) : cdfnor, erf.- multi normale
:
Y=grand(n,'mn',Mean,Cov)
génèren
réalisations indépendantes de la loi multi-normale ;Mean
doit être un vecteurm x 1
etCov
une matricem x m
symétrique et définie positive, (Y
est alors une matricem x n
).- geometrique
:
Y=grand(m,n,'geom', p)
génère des nombres aléatoires suivant la loi geométrique de paramètrep
: nombre d'épreuves de Bernouilli (de probabilité de succèsp
) jusqu'à obtenir un succès (p
doit appartenir à l'intervalle[pmin,1]
(avecpmin = 1.3 10^(-307)
).Y
contient des nombres réels positifs à valeur entière qui sont "le nombre de tentatives nécessaire pour obtenir un succès" pour chaque tirage.- markov
:
Y=grand(n,'markov',P,x0)
génèren
états successifs d'une chaîne de Markov décrite par la matrice de transitionP
. L'état initial est donné parx0
. Six0
est une matrice de taillem=size(x0,'*')
alorsY
est une matrice de taillem x n
.Y(i,:)
étant le chemin à partir de l'état initialx0(i)
.- multinomiale
:
Y=grand(n,'mul',nb,P)
génèren
réalisations indépendantes de la loi Multinomiale : classernb
éventualités dansm
catégories (mettrenb
"boules" dansm
"boites").P(i)
étant la probabilité qu'une éventualité soit de categorie i.P
le vecteur des probabilités est de taillem-1
(la probabilté de la catégoriem
étant1-sum(P)
).Y
est alors de dimensionsm x n
, chaque colonneY(:,j)
étant une réalisation de cette loi :Y(i,j)
est le nombre d'éventualités classées en catégoriei
pour laj
ème réalisation (sum(Y(:,j)) = nb
).- Poisson
:
Y=grand(m,n,'poi',mu)
génère des nombres aléatoires suivant la loi de Poisson de moyennemu (réel >= 0.0)
.- permutations aléatoires
:
Y=grand(n,'prm',vect)
génèren
permutations aléatoire du vecteur colonne (m x 1
)vect
.- uniforme (def)
:
Y=grand(m,n,'def')
génère des nombres aléatoires suivant la loi uniforme sur[0,1[
(1 n'est jamais retourné).- uniforme (unf)
:
Y=grand(m,n,'unf',Low,High)
génère des nombres aléatoires suivant la loi uniforme sur[Low, High[
.- uniforme (uin)
:
Y=grand(m,n,'uin',Low,High)
génère des entiers aléatoires suivant la loi uniforme sur[Low, High]
.High
etLow
doivent être des entiers tels que(High-Low+1) < 2147483561
.- uniforme (lgi)
:
Y=grand(m,n,'lgi')
retourne la sortie du générateur de base courant : des entiers aléatoires suivant une loi uniforme sur :[0, 2^32 - 1]
for mt, kiss and fsultra[0, 2147483561]
for clcg2[0, 2^31 - 2]
for clcg4[0, 2^31 - 1]
for urand.
Actions sur le(s) générateur(s) de base
Depuis Scilab-2.7 vous avez la possibilité de choisir parmi plusieurs générateurs de base (donnant des entiers aléatoires suivant la loi 'lgi') :
- mt
le Mersenne-Twister de M. Matsumoto and T. Nishimura, période d'environ
2^19937
, état interne donné par624
entiers (plus un index); c'est le générateur par défaut.- kiss
Le Keep It Simple Stupid de G. Marsaglia, période d'environ
2^123
, état interne donné par4
entiers.- clcg2
une combinaison de 2 générateurs linéaires congruentiels de P. L'Ecuyer, période d'environ
2^61
, état interne donné par2
entiers ; c'était le seul générateur de base utilisé auparavent par grand (cette version est cependant légèrement différente de l'ancienne).- clcg4
une combinaison de 4 générateurs linéaires congruentiels de P. L'Ecuyer, période d'environ
2^121
, état interne donné par 4 entiers ; ce générateur peut être partagé en101
générateur virtuels (en fait la suite de longueur2^121
peut être découpée en101
sous-suites) ce qui peut être utile dans certains cas (voir 'Actions specifiques à clcg4' et 'Exemple d'utilisation de clcg4').- urand
le générateur de base (congruentiel affine...) utilisé par la fonction rand, état interne constitué d'un seul entier, période de
2^31
(basé sur le vol 2 du Art of Computer Science de Knuth). C'est le plus rapide de cette liste mais il est maintenant dépassé : il est préférable de ne pas l'utiliser pour une simulation sérieuse consommant beaucoup de nombres aléatoires (en particulier ce générateur ne passe pas certains tests statistiques classiques).- fsultra
un générateur SWB (subtract-with-borrow) mixé avec un générator congruentiel concu par Arif Zaman et George Marsaglia. Sa période est supérieure à
10^356
, et son état interne est constitué d'un tableau de 37 entiers, d'un index sur ce tableau et d'un drapeau (0 ou 1) ainsi qu'un autre entier donnant l'état interne du générateur congruentiel.
Actions
- action= 'getgen'
:
S=grand('getgen')
retourne le nom du générateur de base actuel (S
est l'une des chaînes de caractères 'mt', 'kiss', 'clcg2', 'clcg4', 'urand', 'fsultra').- action= 'setgen'
:
grand('setgen',gen)
permet de changer le générateur de base :gen
doit être l'une des chaînes de caractères 'mt', 'kiss', 'clcg2', 'clcg4', 'urand', 'fsultra'. En cas de succès la fonction retourne cette même chaîne.- action= 'getsd'
:
S=grand('getsd')
retourne l'état interne actuel (les 'germes' dans l'ancienne appelation quoique ce terme désigne plutôt l'état initial) du générateur de base courant ;S
est un vecteur colonne (d'entiers) de dimension625
pour mt (la première composante étant un 'index' sur l'état, c-a-d un entier de l'intervalle[1,624]
),4
pour kiss,2
pour clcg2 ,40
pour fsultra,4
pour clcg4 (pour ce dernier vous obtenez l'état interne du générateur virtuel courant), et1
pour urand.- action= 'setsd'
:
grand('setsd',S), grand('setsd',s1[,s2,s3,s4])
impose l'état interne du générateur de base courant :- pour mt
S
est un vecteur d'entiers de dimension625
(la première composante étant un index sur[1,624]
), les624
dernières composantes doivent être dans[0,2^32[
) (mais ne doivent pas être toutes nulles) ; une initialisation plus simple est possible (et recommandée) en donnant un seul entiers1
(s1
appartenant à[0,2^32[
) ;- pour kiss
4
entierss1,s2, s3,s4
dans[0,2^32[
doivent être fournis ;- pour clcg2
2
entierss1
dans[1,2147483562]
ets2
dans[1,2147483398]
doivent être fournis ;- pour clcg4
4
entierss1
dans[1,2147483646]
,s2
dans[1,2147483542]
,s3
dans[1,2147483422]
,s4
dans[1,2147483322]
sont requis ;ATTENTION
: avec clcg4 vous positionnez l'état interne du générateur virtuel courant mais vous perdez alors la synchronisation avec les autres générateurs virtuels. (=> si vous utilisez clcg4 avec différents générateurs virtuels, il faut utiliser l'option 'setall' qui permet de changer l'état interne (du générateur numéro 0) tout en recalculant l'état initial des 100 autres générateurs virtuels).- pour urand
1
entiers1
appartenant à[0,2^31
[ est requis.- for fsultra
S
est un vecteur de40
entiers (son premier élément doit être dans l'intervalle[0,37]
, son deuxième (drapeau) doit être 0 ou 1, le troisième un entier de [1,2^32[ et les 37 composantes suivantes, des entiers de [0,2^32[) ; il est recommandé d'utiliser l'autre procédure d'initialisation (plus simple) avec deux entierss1
ets2
de[0,2^32[
.
- action= 'phr2sd'
:
Sd=grand('phr2sd', phrase)
étant donnée une chaîne de caractèresphrase
cet appel retourne un vecteur1 x 2
qui peut être utilisé comme état interne pour un générateur de base (initialement adapté pour clcg2).
Options specifiques à clcg4
Le générateur clcg4 peut être utilisé comme les autres mais il offre l'avantage de pouvoir être
découpé en (101
) générateurs virtuels différents, c-a-d avec des séquences sans
intersection (quand vous utilisez un générateur classique vous pouvez changer l'état initial
de façon à obtenir une autre séquence mais vous n'êtes pas complètement sûr d'obtenir une
séquence complètement différente). Chaque générateur virtuel correspond à une séquence de
longueur 2^72
qui est de plus découpée en V=2^31
segments de longueur
W=2^41
. Pour un générateur virtuel donné vous pouvez retourner au début de la séquence
ou au début du segment ou bien au début du segment suivant.
Vous pouvez aussi changer l'état initial du générateur 0
avec l'option
'setall' qui recalcule l'état initial des autres générateurs virtuels de sorte à obtenir
la synchronisation entre les générateurs (c-a-d qu'en fonction du nouvel état initial du générateur
0
l'état initial des générateurs 1..100
sont recalculés de façon à
obtenir 101
séquences qui ne s'intersectent pas).
- action= 'setcgn'
:
grand('setcgn',G)
sélectionne le générateur virtuel numéroG
: lorsque le générateur de base courant est clcg4, c'est le générateur virtuelG
qui sera alors utilisé ; les101
générateurs virtuels sont numérotés0,1,..,100
(ainsiG
doit être un entier de l'intervalle[0,100]
) ; par défaut le générateur virtuel courant est celui de numéro0
.- action= 'getcgn'
:
S=grand('getcgn')
retourne le numéro du générateur virtuel courant.- action= 'initgn'
:
grand('initgn',I)
réinitialise l'état du générateur virtuel courant :- I = -1
remet l'état à sa valeur initiale
- I = 0
remet l'état au début du segment courant
- I = 1
positionne l'état au début du segment suivant et met à jour les valeurs définissant le segment courant (vous ne pouvez pas revenir au début du segment précédent).
- action= 'setall'
:
grand('setall',s1,s2,s3,s4)
impose l'état interne du générateur virtuel de numéro0
às1,s2,s3,s4
. L'état initial des autres générateurs est alors reconstruit (de façon à obtenir 101 séquences qui ne s'intersectent pas). Voir l'action 'setsd' pour les contraintes surs1, s2, s3, s4
.- action= 'advnst'
:
grand('advnst',K)
avance l'état du générateur virtuel courant de2^K
valeurs et réinitialise l'état initial (du générateur virtuel courant) à ce nouvel état.
Exemple d'utilisation de clcg4
On cherche à comparer deux techniques statistiques sur des données de tailles différentes. La première, utilisant le 'bootstrapping' est supposée a priori aussi précise que la deuxième technique (utilisant uniquement la force brute) tout en utilisant moins de données. Pour la première méthode, un ensemble de données de taille n1, uniformément distribuée entre 25 et 50 devra être généré puis analysé par la méthode. Pour la seconde méthode, on procède de même avec une taille n2 à choisir entre 100 et 200. Ce processus est répété 1000 fois. Pour la réduction de la variance, on veut que les nombres aléatoires utilisés dans les deux méthodes soient les mêmes pour chacune des 1000 comparaisons. Comme la deuxième méthode utilise plus de nombres aléatoires, la synchronisation peut être difficile si l'on utilise un générateur classique. Avec un générateur comme clcg4 c'est par contre très simple : utilisez le générateur 0 pour obtenir la taille n1 du jeux de données et le générateur 1 pour obtenir les données. Avec le générateur 0 tirer la taille n2 puis resélectionner le générateur 1 et revenez au début du segment courant pour obtenir les n2 données pour la deuxième méthode : ainsi les données initiales (les n1 premieres) sont les mêmes pour les deux méthodes. Pour la comparaison suivante, il suffit d'avancer le générateur 1 au segment suivant, etc, etc.
Voir aussi
- rand — générateur de nombres aléatoires
Auteurs
- randlib
Les codes qui permettent de générer les lois autres que def, unf, lgi, uin et geom proviennent de "Library of Fortran Routines for Random Number Generation", de Barry W. Brown et James Lovato, Department of Biomathematics, The University of Texas, Houston.
- mt
Le code est le mt19937int.c par M. Matsumoto and T. Nishimura, "Mersenne Twister: A 623-dimensionally equidistributed uniform pseudorandom number generator", ACM Trans. on Modeling and Computer Simulation Vol. 8, No. 1, January, pp.3-30 1998.
- kiss
Ce code a été donné par G. Marsaglia lors d'une discussion concernant la génération de nombres aléatoires en langage C dans plusieurs forums usenet (dont sci.math.num-analysis) "My offer of RNG's for C was an invitation to dance..." seul kiss a été inclus dans Scilab (kiss est construit à partir de plusieurs générateurs mais qui ne sont accessibles à l'interpréteur scilab).
- clcg2
Cette méthode est de P. L'Ecuyer mais le code C code provient de la page personnelle de Luc Devroye (http://cgm.cs.mcgill.ca/~luc/rng.html).
- clcg4
Ce code est de P. L'Ecuyer et Terry H.Andres et est distribué avec un article à partir de la page personnelle de P. L'Ecuyer ( http://www.iro.umontreal.ca/~lecuyer/papers.html). Ce paquetage est le successeur logique d'un plus ancien utilisant le générateur clcg2 (muni d'un mécanisme équivalent de générateurs virtuels) : P. L'Ecuyer and S. Cote. Implementing a Random Number Package with Splitting Facilities. ACM Transactions on Mathematical Software 17:1,pp 98-111.
- fsultra
un code d' Arif Zaman (arif@stat.fsu.edu) et de George Marsaglia (geo@stat.fsu.edu)
- scilab packaging
Par Jean-Philippe Chancelier et Bruno Pinçon
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